On ne parle pas qu’en présence de son avocat...

Au détour d’une conversation, un ami m’a lancé :

  • Assister un criminel avant qu’il soit arrêté, c’est être son complice.
  • Assister un criminel après qu’il soit arrêté, c’est être son avocat.

J’ai trouvé cela amusant... sur le coup.
Pourtant, après quelques heures, ces deux petites phrases ont refaient surface ; et toutes anodines qu’elles sont, elles ne manquent pas de nous faire réfléchir...