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Sous les nuages, ces merveilleux nuages [1], la terre, ferme et fertile, s’arrête là où la mer s’avance et se retire.

Mais savez-vous où va toute cette eau quand l’océan se retire ?

  • de l’autre côté de la Terre, à l’opposé ?
    (à 180° par rapport au lieu où l’on se trouve)
  • de l’autre côté de l’océan, à angle droit ?
    (à 90° par rapport au lieu où l’on se trouve)
  • elle s’évapore ?
  • elle « enfle » au milieu de l’océan ou de la mer ?

Alors ?
Vous avez trouvé ?

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P.-S.

  • Photo d’entête par Malgbern.
  • Photo de la solution par Stéphane Legars.

Notes

[1] « J’aime les nuages, les merveilleux nuages qui passent », extrait des Petits Poèmes en prose de Charles Baudelaire.

Petits Poèmes en prose (ou Le Spleen de Paris) est le titre d’un recueil posthume de poèmes en prose de Charles Baudelaire établi par Charles Asselineau et Théodore de Banville. Il a été publié pour la première fois en 1869 dans le quatrième volume des Œuvres complètes de Baudelaire publié par l’éditeur Michel Levy.

Les cinquante pièces qui le composent ont été rédigées entre 1855 (« Le crépuscule du matin ») et 1864. Une quarantaine d’entre elles ont paru dans divers journaux de l’époque ; les dix suivantes furent posthumes entre 1867 et 1869. Selon une lettre de 1862, Baudelaire a été inspiré en les écrivant par l’exemple d’Aloysius Bertrand.